Aperçue sur un mur parisien, une mosaïque appelant à la vigilance ...  

Un ET bien abimé débusqué fin juin 2022 dans le neuvième arrondissement où nous venions de nous ennuyer en assistant à la représentation de type fiction radiophonique de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï.

Un peu d'assiduité, quelques soirées télé, des trico-thés, deux pizza-tricots ... 

Et hop, la première de ces chaussettes au goût d'été est tombée de mes aiguilles ... 

La seconde est montée, sa pointe déjà achevée ...

Je suis prête pour une nouvelle réunion avec mes amies :)  

A la veille d'un départ pour Paris, où un des objectifs était de vider frigos et d'utiliser les produits frais en attente, j'ai converti un bol de tomates cerise et la fin d'un bouquet de menthe en taboulé de printemps ! 

J'ai pris : 

1/2 verre de boulgour 
une poignée de tomates cerises 
3 aillets  (jeunes pousses d'ail frais) 
les derniers brins d'un bouquet de menthe
une petite poignée de raisins secs blonds
1 cuillère à café de harissa
2 cuillères d'huile d'olive
le zeste râpé et le jus d'un citron entamé

Faire cuire le boulgour selon les instructions du paquet (pour le mien : 12 minutes dans de l'eau bouillante salée) 
Râper le zeste du citron et exprimer le jus. Verser dans un grand bol
Préparer la sauce en ajoutant l'huile, la harissa, du sel et du poivre au jus de citron.
Couper les tomates en 4 ou 6
Emincer les aillets et les feuilles de menthe 
Egoutter le boulgour, verser dans le bol, ajouter les légumes et bien mélanger 
Ajouter une poignée de raisins secs et bien mélanger.
Mettre au réfrigérateur au moins 4 heures pour que les parfums se mélangent et que les raisins absorbent l'humidité.

Se promener dans les rues de Paris le nez en l'air c'est bien  ... mais regarder au sol, c'est bien aussi ! 

Que peut-on rêver de mieux ? 

Oh que ce fut agréable de repartir en Grèce.

De pouvoir à nouveau plonger dans le Bleu, du moins avec les yeux, et de baigner dans la douceur des rayons du soleil printanier.

Pour conserver ce plaisir, je poursuis ma publication de photos de Bleu, chaque mercredi, de ces bleus récoltés lors de nos séjours grecs !

Bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd’hui, la mer qui vient jusqu'au pied d'une petite chapelle à Archaia Epidavros

Me promener le nez en l'air dans les rues parisiennes me permet d'y débusquer fréquemment des œuvres d'Invader, parfois des plaques célébrant les hommes (bien plus rarement les femmes) qui ont résidé dans ces maisons, mais aussi des caryatides originales ou de vieilles enseignes, comme celle-ci célébrant les produits du Vaucluse ... 

Mai pluvieux n'est pas tendre pour les roses, mais favorise la croissance de tous les végétaux ! 

Voilà les roses, un peu abimées par la pluie mais qui fleurissent à foison.   

Côté autres fleurs, les acanthes pointent leurs hampes, la ciste reste à ras de terre, la pivoine porte 4 boutons (un record !)

Les orchidées natives - et protégées - ont colonisé la pelouse 

Le prunier croule sous les fruits qui grossissent presque à vue d'œil, les cerises commencent timidement à rosir, les cassis apparaissent et je n'ai pu débusquer qu'une figue de printemps mais ... mûrira-t-elle ? 

Un ET bien présent derrière une palissade débusqué fin juin 2022 dans le neuvième arrondissement où nous venions de nous ennuyer en assistant à la représentation de type fiction radiophonique de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï.

Lors du séjour parisien d'avril, nous avons enfin poussé les portes de La Samaritaine, pour refaire un tour dans ce magasin où nous allions parfois faire des achats au siècle dernier.

C'est notamment là que j'ai acheté ma machine à coudre, en 1984 ! 

Mais cette fois, point d'achats !

C'est devenu un nouveau temple du luxe aux tarifs exorbitants. 

Tel ce sac en granny squares des plus simples, joli certes, pour qui apprécie ces carrés de grands-mères,

vendu  ... 320 € !!!