Textes d'Annie Ernaux et photographies du fonds de la Maison Européenne de la Photographie se répondent dans une exposition qui est tout à la fois composée de tranches de vie, de moments de télévision, et de réflexions sur l'urbanité.

Passionnante ! 

Elle m'a donnée envie de me replonger dans le 'Journal du dehors' et les écrits sur Cergy de l'auteur récemment nobélisée.

Je ne sais pas si j'ai déjà autant fait durer le tricot d'une paire de chaussettes ! 

Toujours est-il qu'au premier jour du dernier séjour, j'achevai de rabattre les mailles de la première chaussette ! 

Au cours des jours suivants, bien que peu assidue, j'ai réussi à atteindre la moitié du pied de la seconde ! 

A suivre ... 

Une envie de l'Homme de plat tex-mex, et notamment de burritos ... 

Une envie de regarnir le congélateur de plats tout prêts ... 

Une envie de faire évoluer ma recette historique ....

Et Voilà ma nouvelle recette de chili con carne, qui n'a utilisé que des produits du placard ou du congélateur ! 

J'ai pris : 
1 boite de haricots rouges
2 boites de polpa Mutti
1 boîte de maïs
1 bocal de poivrons au naturel 
2 sachets de poivrons cuits congelés l'été dernier 
2 steaks hachés
1 petit morceau de saucisse de Toulouse
2 cuillères à café de chili en poudre 
2 oignons rouges

Eplucher les oignons et les tailler en lamelles. 
Les faire revenir dans une cocotte avec cuillère d'huile.
Pendant ce temps, émietter les steaks hachés et couper la saucisse en fines rondelles
Quand les oignons commencent à peine à dorer, ajouter la viande et bien mélanger
Egoutter les boîtes de maïs, haricots rouges et poivrons et vider dans la cocotte.
Ajouter les boîtes de tomates et bien mélanger. Ajouter les épices.
Donner un bouillon puis laisser cuire à découvert pendant une bonne heure, sur feu doux, jusqu'à ce que le liquide se soit évaporé.
Couvrir et laisser mijoter sur feu très doux pendant une heure (ou dans un four à 180°) 

Laisser reposer une nuit, et faire réchauffer le lendemain sur feu très doux.
Servir tel quel, avec du riz, de la polenta, ou dans des tortillas (avec ou sans fromage)  

Pas vraiment un héritage, ni un souvenir de voyage, mais plutôt un objet qui m'accompagne depuis 47 ans ! 

Pendant ma vie étudiante, je partageais un appartement avec d'autres élèves de mon école. 
Le  compagnon de l'une d'elle eut la chance de faire un stage de steward chez Air France, pendant l'été 1977, et outre les anecdotes sur les voyageurs des classes Affaires et Première, il ramenait de nombreux objets des boutiques Duty Free, dont cette bouteille de whisky que je récupérai vide (je n'aime pas le whisky, ni alors, ni aujourd'hui !).

Je l'ai alors convertie en lampe ... 

Elle a toujours cet usage !  

Elle a toujours cet usage !  

Oh que ce fut agréable de repartir en Grèce.

De pouvoir à nouveau plonger dans le Bleu, du moins avec les yeux, et de baigner dans la douceur des rayons du soleil printanier.

Pour conserver ce plaisir, je poursuis ma publication de photos de Bleu, chaque mercredi, de ces bleus récoltés lors de nos séjours grecs !

Bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd'hui, la déco déposée sur le haut d'un réverbère du Parc Kolokotronis de Nauplie 

Un ET des plus classiques déniché en novembre 2023 lors d'une balade dominicale près du Viaduc des Arts, pendant que Mademoiselle faisait sa sieste en poussette ! 

Au retour de Paris, en début de cette semaine, le jardin était transformé.

Les températures plus clémentes (et les pluie abondante) ont favorisé l'éclosion des roses et des orchidées, les dernières fleurs de camélia persistent et celles de l'oranger du Mexique embaument 

les cerises commencent à rosir et les prunes grossissent alors que les figues de printemps ont disparu

Les fleurs d'oranger et de citronnier embaument

D'autres se préparent ... 

A suivre ...

Avril a été un petit mois côté lectures, avec 18 ouvrages à mon actif (4 767 pages).

Mes challenges ont quand même bien avancé : côté challenges traditionnels : 

- 4 nouvelles nationalités d'auteurs [Chine, Cuba, Italie, Slovaquie], 15 en tout 

- 3 lettres du Challenge ABC des noms de famille d'auteurs [A, Q, S], 18 en tout 

- 6 items du challenge des 80 lectures, listés ci-dessous, 32 en tout 

8 : une œuvre parue avant 1800 : Denis Diderot : Regrets sur ma vieille robe de chambre
11 : une biographie ou autobiographie : Claire et Anne Berest : Gabriële
29 : un ouvrage d’un auteur d’une nationalité jamais lue  : Arpad Soltesz : Colère
48 : un livre recommandé  : Anne et Claire Berest : Gabriële
51 : un ouvrage qui évoque ou qui est basé un fait d'actualité récent (< 30 ans) : Agnès Buzyn : Journal Janvier – juin 2020
78 : un roman écrit au XIXème siècle ou dont l'action s'y déroule  : Claude Izner : Mystère rue des Saints Pères
 

Mes challenges 2024 des lecteurs de Babelio ont avancé, voilà leur point d'étape à fin avril : 

Multi-défis : 35 items , pour un objectif de 90 (sur 100).

Globe-trotter : 4 nouveaux pays en 2024, 128 en tout 

Plumes féminines : 14 items pour un objectif de 40 (sur 60)

Riquiqui : 27 livres de moins de 201 pages

Entre-deux : 24 romans entre 201 et 499 pages, pour un objectif de 50

Pavés : 10 romans de plus de 500 pages pour un objectif de 25  (sur 40)

Héroïnes féminines : 24 items, (sur 50) pour la saison 2023-2024 

Mauvais genres : 37 romans, (96 points sur 400)

Cœur d'Artichaut : 8 items, 

ABC 2023-2024 : 20 lettres sur 26

XXème siècle :  11 items,

Non fiction :  11 items (27 points) 

Primés : 18 romans (51 points) 

Challenges permanents 

Best-of du XXème siècle (Le Monde) : pas de nouveau en 2024, 43 en tout (sur 138)

Prix Goncourt : pas de nouveau en 2024, 34 en tout (sur 119)

Etats américains : pas de nouvel état en 2024, 28 en tout (sur 50)

Départements français  : 3 nouveaux en 2024, 62 en tout (sur 101)

Nobel : pas de nouvel auteur lu en 2024, 33 en tout (sur 119 auteurs) et pas de nouvelle œuvre lue en 2024 (97 en tout) 

Une plongée récente dans ma réserve de tissus m'y a fait redécouvrir quelques coupons que j'avais presque oubliés, et que j'ai décidé de convertir aussitôt en bricoles voyageuses ou cadeaux prêts à offrir.

Celui là, acheté chez Centrakor, du temps du COVID, n'a finalement pas été converti en masques, à porter en été ! 

La deuxième partie de la nuit du Super Bowl fut mise à profit pour assembler ces deux pochettes, prêtes à protéger bazar ou liseuse quand je la glisse dans mon sac !

Dans les années 90, nous fréquentions assez régulièrement les restaurants Ô poivrier ! dont j'appréciais les assiettes - repas, où on trouvait des tartines (de charcuterie, poissons ou fromages), une salade en rapport et des fruits, tranches de melon, de pastèque, fraises, grappes de raisin ... 

Bref, tout un repas dans une assiette ! 

Ces restaurants ont malheureusement fermé depuis belle lurette. 

Je m'en inspire régulièrement, surtout l'été pour composer des assiettes repas. 

Le mois dernier, j'ai agrémenté quelques restes (quiche saumon épinards, feuilles d'endives tartinées de rillettes de saumon, radis et coupelle d'ananas) d'une nouvelle recette de salade de pommes de terre, m'inspirant d'un de mes livres de cuisine américaine 

J'ai pris : 
3 pommes de terre moyennes 
1 œuf
1 gros cornichon
du vinaigre de cidre
de la mayonnaise,
de la moutarde à l'ancienne 
un peu d'eau

Eplucher les pommes de terre, els couper en morceaux de la taille d'une noix et les faire cuire une vingtaine de minutes dans de l'eau salée
Faire cuire l'œuf une dizaine de minutes. Faire refroidir et écaler. 
Préparer la sauce en versant dans un saladier : une cuillère de vinaigre de cidre, une belle cuillère à soupe de mayonnaise, une cuillère à soupe de moutarde à l'ancienne et un peu d'eau. 
Egoutter les pommes de terre et les enrober aussitôt de sauce. 
Couper le cornichon en tout petits dés et l'œuf en petits morceaux, ajouter aux pommes de terre et bien mélanger.
Servir à température ambiante.